Accueil > Recettes > Poulet à l'angevine 600 g d' escalope de poulet 50 cl de crème fraîche épaisse En cliquant sur les liens, vous pouvez être redirigé vers d'autres pages de notre site, ou sur Récupérez simplement vos courses en drive ou en livraison chez vos enseignes favorites En cliquant sur les liens, vous pouvez être redirigé vers d'autres pages de notre site, ou sur Temps total: 45 min Préparation: 30 min Repos: - Cuisson: 15 min Étape 1 Commencez par couper les escalopes de poulet en aiguillettes. Étape 2 Faites revenir dans un peu de beurre de l'échalote, un peu d'ail. Puis faites dorer les aiguillettes. Quand les aiguillettes sont dorées, incorporez les champignons, les tomates coupées en petits morceaux puis le vin blanc. Laissez mijoter 15 min à feux doux. C'est prêt!! Note de l'auteur: « Servir avec des pâtes, excellent avec la sauce!! » C'est terminé! Qu'en avez-vous pensé?
tel ce « poulet en fricassée à l'angevine », recette du dimanche avec crème fraîche et champignons de Paris. Un délice à faire suivre de ces poires aux épices… Belle Angevine! Pour accompagner le repas, de l'apéritif au dessert, les vins réputés ne manquent pas: rouges Anjou et Anjou-villages aux arômes délicats, blancs secs et fruités comme, aux portes d'Angers, les savennières puissants et complexes, nerveux, amples et frais. Ou divinement moelleux avec les Coteaux de l'Aubance, du Layon, quarts-de-chaume racés et séducteurs… Les recettes Fricassée de poulet à l'angevine Pour 4: 1 poulet fermier, 300 g de champignons de Paris, une vingtaine d'oignons grelots, 20 cl de crème fraîche liquide, une noix de beurre, 1 verre de vin blanc d'Anjou. Couper le poulet en 8 morceaux: les 2 pilons, les hauts de cuisse, les ailes et les filets ou « blancs ». Dans une sauteuse, les faire dorer à feu vif avec le beurre. Incorporer les oignons grelots pelés entiers (les tremper auparavant quelques minutes dans l'eau tiède pour les peler plus facilement).
Outre la vente de produits bio et bons, Respect Gourmand c'est aussi un atelier de transformation aux normes CE, ouvert à la prestation et désireux d'accompagner agriculteurs et autres acteurs dans la diversification de leur activité (confection de soupes, conserves et plats cuisinés,... ).
Cette recette met en oeuvre 4 produits emblématiques de la région angevine: le vin, la crème, les champignons et la volaille. La tradition culinaire locale veut que l'on prépare la volaille en fricassée. Ainsi, nos morceaux de filet de poulet sont sautés dans une poêle avec nos champignons. Le tout est déglacé au vin blanc d'Anjoux et mis à mijoter dans la crème fraîche. Ainsi notre sauce crémeuse s'imprègne de saveurs de champignons. Le vin blanc d'Anjou apporte à la sauce les arômes typiques du cépage Chenin, c'est à dire des notes de fruits à chair blanche comme la pomme, la pêche, ainsi que des notes florales et d'éparée à partir de produits emblématiques du terroir angevin, cette recette prend naturellement la démonisation "à l'angevine".
Il existe de nombreuses recettes mijotées à base de poulet. Le site produitsderegion vous propose de réaliser une recette totalement angevine. Recette pour 6 personnes. Ingrédients 1 poulet de 2kg découpé en morceaux. 300g d'oignons grelots (vendu au rayon surgelés). 80g de crème fraiche épaisse. 1 litre à 1, 5 litre de vin blanc sec d'Anjou. 800g de pommes de terre à chair ferme. 60g de beurre. 500g de champignons de Paris (de préférence frais). Sel. Poivre. Préparation Laver les champignons et les découper en morceaux. Réserver. Dans une cocotte, faire fondre le beurre et faire dorer les morceaux de poulet de chaque côté à feu vif. Retirer les morceaux de poulet et réserver dans une assiette en prenant soin de conserver la graisse dans la cocotte. Ajouter les champignons et les oignons dans la cocotte et faire revenir à feu moyen. Ajouter le poulet, saler et poivrer. Couvrir l'ensemble de vin blanc et laisser mijoter à couvert et à feu moyen pendant 40 minutes. Peler les pommes de terre, les laver et les découper en morceaux moyens.
Poire Comice. (Flickr/ Nordique) L e paradis de la digestion paisible. » La formule est de Curnonsky. Faut-il y voir un simple hommage à Angers, la ville où le « prince des gastronomes » avait vu le jour, le 12 octobre 1872? En partie sans doute. Mais il y avait beau temps déjà qu'écrivains et poètes avaient célébré la douceur angevine, terre de Rabelais et « jardin de la France ».