Burkina/Nouna: Le nouveau siège du Haut-commissariat endommagé par des hommes armés Nouna, 23 mai 2022(AIB)-Le bâtiment nouvellement construit, devant abriter le Haut-commissariat de la Kossi, non encore réceptionné, a été, de nouveau, la cible d'une attaque d'Hommes armés non identifiés (HANI) dans la nuit du 22 au 23 mai 2022. Le bâtiment semble avoir été dynamité à plusieurs endroits. Yahoo fait partie de la famille de marques Yahoo.. La guérite et une partie du bâtiment ont été endommagées. Le nouveau siège du Haut-commissariat de la Kossi, non encore occupé, est situé à la sortie à la ville de Nouna sur l'axe Nouna-Djibasso. Agence d'information du Burkina Microsoft et les partenaires peuvent être rémunérés si vous achetez quelque chose en utilisant les liens recommandés dans cet article.
Miss. Tic, figure parisienne du street art connue pour ses silhouettes de femmes brunes, sexy et poétiques graffées au pochoir sur les murs de la capitale notamment, est décédée dimanche de maladie à l'âge de 66 ans, a annoncé sa famille à l'AFP. Née d'un père immigré tunisien et d'une mère normande, Radhia Novat, de son vrai nom, commence à imprimer son art en 1985 dans les rues de la Butte-Montmartre -- où elle a grandi --, du Marais, de Montorgueil et de la Butte-aux-Cailles, après un séjour aux Etats-Unis. "Je venais du théâtre de rue, j'aimais cette idée de l'art dans la rue", expliquait en 2011 à l'AFP cette plasticienne, au teint mat et à la belle chevelure noire, comme ses héroïnes. "Je me suis dit d'abord: +Je vais écrire des poèmes+. Credit pour tunisiens à l étranger ranger belgique. Puis: +Il faut des images+ avec les poèmes. J'ai commencé par des autoportraits, puis j'ai continué vers les autres femmes", ajoutait celle qui accompagnait ses pochoirs de légendes incisives comme "J'enfile l'art mur pour bombarder des mots coeurs".
Culture Arts L'artiste de 66 ans était exposée régulièrement en France et à l'étranger. Après l'art de rue, elle avait collaboré avec plusieurs marques de luxe. Miss. Tic était une figure du street art de la capitale. © BERTRAND GUAY / AFP M iss. Credit pour tunisiens à l étranger n anglais. Tic, l'une des figures parisiennes du street art, est décédée dimanche 22 mai à la suite d'une maladie à l'âge de 66 ans, a annoncé sa famille à l' Agence France-Presse. Elle était connue, notamment, pour ses silhouettes de femmes brunes, sexy et poétiques graffées au pochoir sur les murs de la capitale. Radhia Novat, de son vrai nom, est née d'un père immigré tunisien et d'une mère normande. Elle a commencé à imprimer son art dès 1985 dans les rues du quartier de son enfance de la butte Montmartre, du Marais, de Montorgueil et de la Butte-aux-Cailles, après un séjour aux États-Unis. « Je venais du théâtre de rue, j'aimais cette idée de l'art dans la rue », expliquait en 2011 à l'AFP cette plasticienne, au teint mat et à la belle chevelure noire, comme ses héroïnes.
"J'utilise beaucoup la femme contemporaine, celle qu'on nous donne à voir dans la mode, la publicité. Parfois, ce n'est pas très bien compris, alors qu'on peut être jeune et jolie et avoir des choses à dire. Mais c'est vrai qu'on nous vend ce qu'on veut avec de belles filles. Du coup, je me suis dit: +Je vais mettre des femmes pour leur vendre de la poésie+", poursuivait cette fumeuse impénitente. Ses débuts sont marqués par de longues années de galère et des ennuis avec la justice, le tag ou le pochoir étant considérés comme une détérioration de biens. Son arrestation pour ce motif en 1997 lui vaut une amende. Burkina/Nouna : Le nouveau siège du Haut-commissariat endommagé par des hommes armés. Après cet épisode, elle négocie les espaces urbains où elle souhaite travailler, refusant d'être prise pour une délinquante. Son art, éphémère ou pérenne, attire les grandes marques dans les années 2000, notamment dans le milieu de la mode, où elle collabore avec Kenzo, pour un t-shirt en tirage limité, ou Louis Vuitton. Elle signe en 2007 l'affiche du film "La fille coupée en deux", de Claude Chabrol, participe à l'édition 2010 du Petit Larousse en illustrant des mots de la langue française et crée une collection de timbres avec la Poste à l'occasion de la journée des droits des femmes en 2011.