Contrairement aux juifs et grecs qui recherchaient ceci, le salut se trouve dans la personne du Seigneur Jésus. Ceux qui écoutent son appel et lui accordent leur confiance, qu'ils soient juifs ou grecs, Christ devient puissance de Dieu et sagesse de Dieu. En faite, le V25 nous dit que Christ est mort pour expier les péchés qui paraissent stupide aux non croyants qui voient la mort comme la fin du chemin, l'ultime faiblesse. Or Jésus n'est pas simplement mort, mais est ressuscité et ainsi nous sauvera de la mort éternelle et nous donnera la vie éternelle, si nous l'acceptons comme Sauveur et Maître. Or les simples qui acceptent humblement l'offre de Christ sont en fait les seuls vrais sages, car eux seuls vivront éternellement dans la présence de Dieu. Enfin dans les V28-31, l'apôtre Paul va nous dire que recevoir le salut est si simple que toute personne qui veut être sauvée peut l'être. Ni les aptitudes personnelles, ni la sagesse ne donnent accès au Royaume de Dieu. C'est la simple foi qui en ouvre la porte.
Incapable de réfléchir « Aime ton prochain comme toi-même. », de comprendre que si je ne m'aime pas, je ne parviendrai pas à aimer l'autre. Suis-je capable de m'aimer? Capable de m'aimer pour aimer en retour, d'accueillir l'autre comme je m'accueille… Tout part de nous en définitive. Je suis le début et la fin, le problème et la solution. Je suis le pauvre et le riche, l'affligé et le consolé, l'assoiffé et le rassasié. Si je me recentre sur moi-même, je me rapproche de la réponse. Si je me décentre de moi-même, je me rapproche de la réponse. On s'y égare, on s'y perd et pourtant nous n'avons jamais été si près. Continuons de creuser… Éric Laliberté